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e FSB, le service de sécurité russe, a été accusé d'une cyberattaque soutenue, Star Blizzard, contre des personnalités de premier plan au Royaume-Uni, aux États-Unis et dans d'autres pays de l'OTAN.
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La cyberattaque visait à voler des informations via le spear phishing, mais n'a pas réussi à interférer avec la politique britannique.
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En représailles, le Royaume-Uni a imposé des sanctions à deux membres de Star Blizzard et a convoqué l'ambassadeur de Russie, tandis que les États-Unis ont inculpé les pirates informatiques et ont offert une récompense pour leur arrestation.
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Le Royaume-Uni et les États-Unis multiplient les e-mails ciblant la Russie et l’Iran, en publiant des avis de cybersécurité et des orientations mises à jour à l’approche des élections.
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Le gouvernement britannique a qualifié ces actions de « totalement inacceptables » et s’engage à travailler avec ses alliés pour demander des comptes à la Russie.
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L'ambassade de Russie a rejeté ces accusations, les qualifiant de « drame mal mis en scène ».
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L’incident souligne les tensions persistantes entre la Russie et d’autres pays.