Depuis l'arrivée au pouvoir du président Abdelmadjid Tebboune, les conseillers présidentiels ont acquis un pouvoir considérable, suscitant des inquiétudes quant à la démocratie et aux droits de l'homme en Algérie.
Un gouvernement parallèle formé par ces conseillers semble avoir pris le pas sur le gouvernement officiel dirigé par le Premier ministre. Le manque de transparence entourant le processus décisionnel des conseillers, leur influence sur les décisions gouvernementales et leur impact sur la séparation des pouvoirs ont suscité des inquiétudes quant à l'érosion de la démocratie et de la responsabilité. Leurs décisions ont également suscité des inquiétudes quant à la violation des droits de l'homme, notamment en ce qui concerne les restrictions à la liberté de la presse et d'expression.
Il est crucial que les citoyens, la communauté internationale et les organisations de défense des droits de l’homme surveillent de près la situation et exercent des pressions pour garantir que les principes démocratiques fondamentaux soient respectés et préservés en Algérie.
Cependant, le président Tebboune a mis en avant les acquis importants réalisés par l'Algérie en matière de droits de l'homme et de développement durable lors d'une réunion à New York.